Déjà champion de la gestion « low cost », le directeur général de Stellantis souhaite que 80 % de ses achats viennent de pays à bas coûts d’ici à 2028 afin de faire monter sa rentabilité et son cours de Bourse. Il refuse de s’interroger sur l’impact politique des pertes d’emplois qui en résulterait. Read More
Automobile : l’impitoyable chasse aux coûts de Carlos Tavares
